vendredi 4 février 2011

- Education la clé pour sauver un pays

J'entends souvent à la radio des petits sujets sur le niveau de l'enseignement.
Problèmes des langues, de décrochage, qualités, ...

J'ai été un élève à difficulté, cela se perçoit surement dans ce blog, mais je m'en suis sorti et surement pas grâce à l'esprit pédagogique de notre enseignement. Je suis passé à travers les exams et je suis sorti avec mes diplômes tout en gardant mes lacunes, vous trouvez ça normal.
Quand je discute avec des collègues plus âgés, je me rends compte que leur éducation a été tout autre, de qualité. Que se passe-t-il depuis toutes ces années? Pourquoi cette régression?

Je pense que notre élite politique devrait se pencher un peu plus sur la question, car une éducation de qualité permet d'obtenir des citoyens avec des acquis et des connaissances. Plus il y a de personnes qualifiées et plus de personnes trouveront du travail.
Vous allez me dire que cela n'est pas toujours vrai, même si certains ont tous les diplômes du monde, cela n'empêche pas de trouver du travail à coup sur.

Je suis d'accord mais plutôt que d'assister les gens qui ne veulent pas travailler, pourquoi ne pas dépenser l'argent des contribuables pour aider les personnes qui le souhaitent.
Si on aide mieux les jeunes dans l'orientation professionnelle par l'information et par des formations adaptées, est-ce que cela ne serait pas plus profitable à tout le monde?
Les organisations comme l'Onem et le forem devraient faire parties d'un programme dans l'enseignement pour permettre à nos jeunes d'opter pour un travail avec un avenir.

Le modèle scandinave pourrait être pris en exemple.

- Un nouveau tour, un nouvel informateur?

Nous sommes repartis pour un nouveau tour de négociation en mettant à présent le MR en piste.
Mr Reynders va essayer de jouer ce rôle d'informateur que d'autres avant lui n'ont pas réussi à jouer correctement. Y a-t-il tant d'élites incompétentes dans notre pays? Fera-t-il mieux que toutes ces personnes, pourtant pourvues également d'un cerveau? A suivre dans le prochaine épisode de la crise belge.