mardi 12 juillet 2011

Note Di rupo



Voila encore un épisode sans fin de ces notes en n'en plus finir.

Ce qui n'étonne le plus, c'est de savoir qu'on a le pays avec un nombre impressionnant de ministres par rapport au monde entier et aucun d'entre n'est capable de nous trouver une solution.
Ne serait-il pas temps, que tout ce monde politique sorte de sa léthargie et soit un peu honnête avec sa population.

C'est dommage que nous soyons malgré tout bien dans nos petites habitudes, on a bien trop à perdre pour leur faire comprendre.

Un jour cela ne fonctionnera plus et il faudra sortir de nos grottes.

vendredi 4 février 2011

- Education la clé pour sauver un pays

J'entends souvent à la radio des petits sujets sur le niveau de l'enseignement.
Problèmes des langues, de décrochage, qualités, ...

J'ai été un élève à difficulté, cela se perçoit surement dans ce blog, mais je m'en suis sorti et surement pas grâce à l'esprit pédagogique de notre enseignement. Je suis passé à travers les exams et je suis sorti avec mes diplômes tout en gardant mes lacunes, vous trouvez ça normal.
Quand je discute avec des collègues plus âgés, je me rends compte que leur éducation a été tout autre, de qualité. Que se passe-t-il depuis toutes ces années? Pourquoi cette régression?

Je pense que notre élite politique devrait se pencher un peu plus sur la question, car une éducation de qualité permet d'obtenir des citoyens avec des acquis et des connaissances. Plus il y a de personnes qualifiées et plus de personnes trouveront du travail.
Vous allez me dire que cela n'est pas toujours vrai, même si certains ont tous les diplômes du monde, cela n'empêche pas de trouver du travail à coup sur.

Je suis d'accord mais plutôt que d'assister les gens qui ne veulent pas travailler, pourquoi ne pas dépenser l'argent des contribuables pour aider les personnes qui le souhaitent.
Si on aide mieux les jeunes dans l'orientation professionnelle par l'information et par des formations adaptées, est-ce que cela ne serait pas plus profitable à tout le monde?
Les organisations comme l'Onem et le forem devraient faire parties d'un programme dans l'enseignement pour permettre à nos jeunes d'opter pour un travail avec un avenir.

Le modèle scandinave pourrait être pris en exemple.

- Un nouveau tour, un nouvel informateur?

Nous sommes repartis pour un nouveau tour de négociation en mettant à présent le MR en piste.
Mr Reynders va essayer de jouer ce rôle d'informateur que d'autres avant lui n'ont pas réussi à jouer correctement. Y a-t-il tant d'élites incompétentes dans notre pays? Fera-t-il mieux que toutes ces personnes, pourtant pourvues également d'un cerveau? A suivre dans le prochaine épisode de la crise belge.

vendredi 28 janvier 2011

- Clareté, initiatives



Ce mercredi 26 le jt de la RTBF donnait la parole aux partis principaux du pays :PS, CDH, ECOLO et MR. Résultat, on n'en sait toujours pas beaucoup plus, mais la RTBF a donné aussi la parole à un des étudiant initiateur de la manif SHAME de ce dimanche 23.
Il n'a juste posé qu'une question mais assez intéressante : Il demandait un peu plus de clarté dans les négociations envers le citoyen. Le MR et ECOLO en avaient également un peu parlé auparavant.

C'est vrai qu'on aimerait en savoir un peu plus, que disait par exemple la note de Mr Johan Vande Lanotte, quelles sont toutes les revendications de part et d'autre.
Comment pouvons nous savoir objectivement, quel coté met des bâtons dans les roues. Est-ce que c'est toujours les mêmes ou est-ce que chacun leur tour?
On pourrait au moins savoir, si un côté refuse des idées constructives pour sortir de cette impasse.

Quand on demande l'avis de Mme Laurette ONKELINX, celle-ci explique que cela n'est pas possible et que cela doit rester secret pour arriver à trouver un accord.
Je comprends que parfois cela soit plus facile que de permettre à d'autre personne d'émettre d'autres propositions et donc d'augmenter la complexité des négociations mais je crois que l'on pourrait être tenu au courant des résultats.

Je trouve dans cette situation que le citoyen mérite un peu plus d'information, qu'il sache pourquoi cette élite a été élue.


Ce jeudi 27, Mr Di Rupo propose une avancé pour enfin s'occuper du pays et mettre un peu de côté ces réformes qui ne trouvent aucun accord. Je ne sais pas si cela nous mènera à de meilleur chose mais cette initiative est à reconnaître comme positive dans la situation actuelle.

Nous n'avons plus qu'à continuer à suivre ce feuilleton

mardi 18 janvier 2011

- Allocations de chomage, le point délicat

Le nouveau blocage que connait les négociations politiques concernent les allocations de chômage.

N'ayant jamais connu le chômage, c'est un peu difficile de porter un jugement objectif. Pour les personnes qui travaillent, on ne comprend pas bien souvent que tant de personnes ne font rien sur notre compte.
De plus, je connais quelques personnes travaillant dans les systèmes d'aide (genre forem/onem) en générale et ce que j'en entends ne fait que renforcer une pensée négative. Cette pensée est que beaucoup trop de gens sont assistés et beaucoup profitent.
Pour moi, ce genre d'aide est plus qu'utile pour les gens qui rencontrent, à un moment de leur vie, des circonstances dramatiques, comme la perte de l'emploi, une maladie soudaine,... et pas des gens qui se retrouvent à profiter de toutes les occasions pour être tranquille chez eux ou faire du noir.
Tout comme moi, vous devez surement connaitre dans votre entourage, au moins, ce genre de personne. De même au niveau de l'immigration, toute une série d'aides sont octroyés et ces personnes ont toute le même discourt, il faut que l'on m'explique comment c'est possible que cela soit si facile pour eux. Les personnes des centres d'aide,on l'impression de se retrouver à une véritable industrie!

Je n'ai rien contre faire un peu d'humanitaire, mais pour des personnes méritantes et pas pour des profiteurs que ce soit des wallons, flamands ou étrangers.



Commentaires de personnes :


Divisé pour mieux régner, c'est ce que veux le patronat. Ainsi il pourront mieux contrôler le marché de l'emploi. Mais il est aussi fou de penser que l'on pourrait user et abuser du système sociale qui a été créé à l'origine dans l'optique de fournir une roue de secoure aux personnes vivant un drame qu'il ne peuvent résoudre par eux même. En gros, construire une nouvelle maison au bord d'une rivière qui connait des crue connues, c'est vivre sur le dos des autres assurer. La construire dans un lieu idéal et ne pas s'assurer c'est stupide. Voyons à développer une politique plus adaptées pour combattre les profiteurs sociaux, tout en ayant une prévoyance la plus solide possible.


Tant qu'on ne reconnaîtra pas qu'en Wallonie, la politique d'activation des chômeurs est grandement inefficace, on n'avancera pas. Il faut avoir connaître un peu le forem, les EFT, ifapme et autre pour se rendre compte du nombre de personnes, en pleine santé et en pleine possession de leurs moyens, qui se complaisent dans leur statut de chômeur professionnel. Tel jour aller au forem pour pointer sa carte JOBPass, ne pas oublier de se réinscrire tous les 3 mois, suivre (ou devrais-je dire commencer) telle ou telle formation etc... Les victimes ? Les vrais demandeurs d'emploi qui sont souvent parfois moins au fait des trucs et astuces du parfait petit chômeur et se retrouvent parfois privés de leurs droits injustement...

samedi 15 janvier 2011

- Le ras-le-bol d'une poignée de belges:



La Fille de 1973 : A tout moment la rue peut aussi dire non…

Le site de Marie Véja, nous donne un message de savoir vivre et surtout nous elle fait comprendre qu'il faut agir avant qu'il ne soit trop tard! A méditer!!!!

Titre piqué à une chanson d’Eiffel qu’il y a quelques mois je me passais en boucle. En me demandant pourquoi dans mon petit pays (dont on n’a cessé depuis l’enfance de me dire que c’était un « pays de cocagne, Marie, rends-toi bien compte de cela ! »), personne ne ruait dans les brancards et n’allait dire merde aux politiciens en descendant en masse dans les rues.
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Camping 16 :

Manière facile de montrer son ras-le-bol, c'est toujours mieux que de ne rien faire!

Votre patience est également à bout? Envoyez un signal clair aux politiques et soutenez 'Camping 16'. Comptez avec nous les 100 jours à la Rue de la Loi, 16, et incitez les politiques à faire leur job. Montez votre tente virtuelle, occupez la Rue de la Loi 16, et faites savoir aux politiques que vous en voulez pour votre argent.

Site Camping 16 : Ici:

SHAME :

Peut-être que cela ne servira à rien, mais la meilleure façon de montrer que nous sommes tous solidaires!

Trois étudiants de la Vrije Universiteit Brussel (VUB) lancent un appel à manifester le 23 janvier, contre la crise politique qui frappe notre pays depuis plus de 200 jours.

Site SHAME : Ici:

Un belge, Kris Janssens(néerlandophone) plein de bon sens, à voir sans modération :Politieke Choas

- Article pour comprendre la crise belge à son origine: Par Daniel Tanuro: Site LCR-la gauche:

Cet article, permet de comprendre un peu le point de départ et certains points de la situations actuellement.

La crise politique dans laquelle la Belgique s’enlise reste inintelligible si l’on ne saisit pas l’interaction particulière entre les facteurs objectifs et subjectifs, entre l’Histoire longue du pays et les développements récents. Or, il faut comprendre. On ne peut pas se contenter de dire que cette crise est celle de « ceux d’en-haut », que « ceux d’en-bas » ont « d’autres problèmes », etc. Il y a évidemment un élément de vérité dans cette affirmation, mais la crise pose des questions bizarres auxquelles il est impossible de se soustraire sans s’effacer du champ politique. Pour y répondre, il s’agit d’abord de comprendre pourquoi elles sont formulées.

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- Article qui explique les erreurs francophones sur le site de l'Institut Turgot :

Tout dans cette article n'est peut-être pas objectif, mais je trouve que le fond mérite d'être étudié, il suffit de se souvenir des quelques dérapages médiatisés il n'y a pas si longtemps.

Ceci est une version légèrement amendée d'un article publié dans le journal Bruxellois Le Soir, en date du 12 octobre 2010, sous le titre "Régionalisons l'Etat-Providence". Corentin de Salle est docteur en philosophie et licencié en droit.


« Le gouvernement n’est pas la solution à nos problèmes, il est le problème ».
Illustrant à merveille le bon mot de Reagan, la politique belge depuis 2007 semble en définitive se résumer à l'art de former un gouvernement et de le maintenir approximativement jusqu'à l'échéance du mandat. Risquons une explication iconoclaste : au-delà des affrontements communautaires linguistiques et territoriaux, la véritable cause de ce dysfonctionnement majeur est de nature économique.
La solidarité entre le Nord et le Sud du pays a été tuée non par le nationalisme flamand mais par les belges francophones eux-mêmes qui - en votant massivement, ces trente dernières années, pour des partis menant des politiques d'inspiration socialiste - en ont usé et abusé sans vergogne.
L’exaspération flamande, légitime à bien des égards, s’explique par la malgouvernance, les politiques économiques désastreuses et l'irresponsabilité budgétaire de la Wallonie et de Bruxelles. C’est la cause majeure, non pas du nationalisme flamand en tant que tel - il existe depuis plus d’un siècle - mais de son intensité dramatique et inédite dans la population flamande actuellement.

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- Articles sur la Libre qui me semble intéressant à lire:

Article sur la Libre: http://www.lalibre.be

1 Pourquoi ? Pourquoi faut-il une nouvelle réforme de l’Etat ? Autrement dit, tentons d’apporter une réponse à tous ceux qui se demandent encore et toujours à quoi “ils” jouent, ce qu’“ils” fabriquent et pourquoi “ils” négocient.
– Depuis 1999, les partis flamands ont clairement indiqué, dans des résolutions votées presque à l’unanimité du Parlement flamand, la manière dont ils souhaitaient voir le pays évoluer. En deux mots : les Flamands veulent être maîtres de leurs choix politiques. Dans tous les domaines. Ces résolutions ne sonnent pas la fin de la Belgique, mais elles vident l’Etat fédéral d’une partie de sa substance.
– A l’époque, l’aspiration des francophones n’était pas la même. Les partis du Sud estimaient que, moyennant quelques petits aménagements, il était possible de vivre dans l’Etat fédéral tel qu’il avait été façonné par 5 grandes réformes de l’Etat.
C’est la raison pour laquelle, globalement, pendant dix ans, il ne s’est pas passé grand-chose dans notre paysage institutionnel, hormis le transfert de la tutelle sur les communes à facilités de l’Etat fédéral vers les entités fédérées, une arme dont les Flamands ont usé pour refuser la nomination des bourgmestres de la périphérie. Comme quoi les petites réformes peuvent aussi faire de gros dégâts...
On n’a donc pas fait grand-chose pendant 10 ans. Or, il faut reconnaître que, dans un Etat où vivent plusieurs communautés, deux principes essentiels doivent être respectés pour permettre la coexistence pacifique ou, mieux, l’harmonie. Lesquels ?
– La majorité ne peut imposer à la minorité sa manière d’organiser l’Etat.
– La minorité ne peut empêcher la majorité de vivre selon ses aspirations. La stratégie des partis francophones – le statu quo parce que les propositions flamandes étaient jugées inacceptables – a eu comme conséquence, comme dégât collatéral, de porter au pouvoir le plus radical des partis et des hommes politiques de Flandre : la N-VA et son président, Bart De Wever, un nationaliste pur et dur, ouvertement séparatiste, partisan de la création d’un Etat flamand indépendant. Cela ne signifie évidemment pas que tous les Flamands veuillent la scission de la Belgique : mais comme la réforme de l’Etat n’a pas été possible avec Yves Leterme, ils ont préféré plébisciter quelqu’un de plus radical.
C’est donc avec lui qu’il faut à présent tenter de négocier l’évolution de l’union belge tout en sachant qu’il veut le divorce. Toute la difficulté de l’actuelle négociation réside dans cette ambiguïté. Mais on ne peut se passer de la N-VA, incontournable, d’autant que tous les autres partis flamands, tétanisés, se rangent prudemment ou frileusement dans son sillage.
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Epilogue :

Face à la crise que connait actuellement la Belgique et comme beaucoup d'autres personnes, je suppose, je me demande la raison du pourquoi de ceci.
En consultant le net ou les médias, il n'est pas toujours facile de trouver une raison objective mais cela peut nous aider à comprendre certaines choses en ayant un peu l'esprit critique et de bien peser le pour et le contre sur l'info que l'on trouve.