samedi 15 janvier 2011

- Article qui explique les erreurs francophones sur le site de l'Institut Turgot :

Tout dans cette article n'est peut-être pas objectif, mais je trouve que le fond mérite d'être étudié, il suffit de se souvenir des quelques dérapages médiatisés il n'y a pas si longtemps.

Ceci est une version légèrement amendée d'un article publié dans le journal Bruxellois Le Soir, en date du 12 octobre 2010, sous le titre "Régionalisons l'Etat-Providence". Corentin de Salle est docteur en philosophie et licencié en droit.


« Le gouvernement n’est pas la solution à nos problèmes, il est le problème ».
Illustrant à merveille le bon mot de Reagan, la politique belge depuis 2007 semble en définitive se résumer à l'art de former un gouvernement et de le maintenir approximativement jusqu'à l'échéance du mandat. Risquons une explication iconoclaste : au-delà des affrontements communautaires linguistiques et territoriaux, la véritable cause de ce dysfonctionnement majeur est de nature économique.
La solidarité entre le Nord et le Sud du pays a été tuée non par le nationalisme flamand mais par les belges francophones eux-mêmes qui - en votant massivement, ces trente dernières années, pour des partis menant des politiques d'inspiration socialiste - en ont usé et abusé sans vergogne.
L’exaspération flamande, légitime à bien des égards, s’explique par la malgouvernance, les politiques économiques désastreuses et l'irresponsabilité budgétaire de la Wallonie et de Bruxelles. C’est la cause majeure, non pas du nationalisme flamand en tant que tel - il existe depuis plus d’un siècle - mais de son intensité dramatique et inédite dans la population flamande actuellement.

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